Depuis l’éclatement de la pandémie, plusieurs secrets jaillissent au sein de l’association marocaine des industries du textile et de l’habillement (AMITH), certains concernant les stratégies louches et confidentielles de Mohamed Boubouh, et d’autres, d’ordre personnel, que nous nous retenons de divulguer.
L’essentiel pour nous serait de savoir si Mohamed Boubouh aurait la franchise suffisante pour consentir à éclairer l’opinion publique sur le rôle joué par la fameuse « Dame de fer » du secteur espagnol du textile et de l’habillement qu’il connaît parfaitement, et sur l’homme de paille marocain qui s’active à encourager l’informel pour débourser des prix dérisoires et engranger de grandes marges bénéficiaires, sapant ainsi l’activité formelle et coupant la route aux grandes usines qui se respectent, qui appliquent la législation du travail et qui paient régulièrement leurs dûs.
Si BouBouh serait, sans doute, en mesure de fournir des chiffres détaillés et retracer l’acheminement réel de ces manigances.
S’étant retrouvé, en un temps record, et sans préparation, à la tête de l’AMITH, Mohamed Boubouh ne semble pas apprécier à sa juste valeur la lourdeur de la responsabilité de président qu’il a endossée ; il a réussi le triste record de se mettre sur le dos les professionnels du secteur, notamment à Casablanca et à Tanger, de loin plus expérimentés, plus rodés et plus aptes que lui. Pourtant, avec un peu d’intelligence, il aurait pu tirer profit de leur grande expérience.
Néanmoins, il ne perd rien pour attendre, parce qu’il semblerait que ces professionnels attendent Boubouh au prochain tournant, pour lui demander des comptes sur son comportement perfide, son manquement aux engagements pris lors de sa campagne électorale ; sur son encouragement, pour son propre compte, de l’informel qui s’accapare 90% des commandes de la STER…et pour lui exiger des explications sur ses relations ciblées avec son ami ministre.
Nous croyons savoir que le piège se referme doucement, mais sûrement sur Mohamed Boubouh et que sa boîte de pandore finira bien par éclater.
Nous suivons l’affaire… !