L’adjointe du maire de Tanger se fait pointer du doigt. Une campagne visant Soumaya Lachiri par les services de contrôle dans l’arrondissement de Souani d’après quelques publications sur les réseaux sociaux.
La politicienne, adjointe du Maire de la ville de Tanger, n’a pas échappé aux diffamations et aux campagnes tendancieuses qui diffusent leur haine cachée. Son statut de vice-présidente du conseil Communal de la ville de Tanger en charge du secteur de la circulation a été bombardé d’accusations a tort et à travers sur ses décisions et sa gestion des missions qui lui sont attribuées, dont la volonté des initiatives de changement qui se déroulent sur le marché de Casabarata. Les campagnes tendancieuses auxquelles il est exposé, lancées depuis le début de l’installation et du renouvellement des panneaux de signalisation routière dans toutes les rues des quartiers Souani et du marché de Casabarata en particulier, afin de réguler la circulation et le mouvement dans la zone qui est connue pour sa grande vitalité, et aussi pour éloigner les vendeurs de rues, appelés « ferrachas» en dialecte, qui envahissent les rues et les voies autour du marché. Ces campagnes ont été suscitées par de tierces personnes qui n’apprécient guère tous les aménagements entrepris par la ville de Tanger avec sérieux, fermeté et transparence, mais aussi la performance des autorités municipales face à la corruption et au favoritisme.
La maturité des décisions prises sur certains projets et les chiffres positifs dans le secteur de la circulation et du mouvement les a incités à entrer dans le soupçon et le doute d’accorder des privilèges à des associés proches en installant des panneaux de signalisation dans certaines zones, laissant se former des interprétations de non-sens et de mensonges ouverts n’ayant aucun fondement dans la réalité, si ce n’est que des rumeurs et des ragots pour éclipser les mouvements de la députée susmentionnée, par ces campagnes de propagande malveillantes, bien étudiées et planifiées afin d’induire l’opinion publique dans le doute.
Afin de mettre fin à ces rumeurs et atteintes maladroites, ce processus d’installation de panneaux de signalisation s’inscrit dans le cadre des contributions du conseil collectif de la ville, dans le cadre du renforcement de l’infrastructure routière, qui était considérée jusqu’à récemment comme des points noirs en raison du grand nombre d’accidents de la circulation connus quotidiennement, et son objectif contribuera de manière significative à réduire le nombre d’accidents.
Mme Lachiri, vice-présidente du conseil communal de Tanger, a déclaré que « la décision d’installer des panneaux de signalisation dans certaine zone «critiquée» a été prise dans le cadre du comité de la circulation et du mouvement, qui comprend les intérêts du groupe, les autorités de l’emploi et de la sécurité. » « La dernière décision a été activée sur la base des conclusions du comité susmentionné et a été adressée aux départements concernés pour activation et suivi », notant que « toute procédure est discutée et la décision appropriée est prise, soit par amendement, soit par maintien ».