La course à la présidence du Conseil régional de Tanger-Tétouan-Al Hoceima
[color=#999999][size=10]Le 27-07-2015 à 10:28:19 [/size][/color]
[b][justify][size=10][color=#333333] La course à la présidence de[color=#993300] la région Tanger-Tétouan –Al Hoceima[/color] s’est ouverte avec le lancement de la campagne électorale le [color=#993300]22 août[/color] courant, mais des stratégies ont été édifiées bien avant cette date.
Un sondage effectué par [color=#993300]le Jou
al de Tanger [/color]a révélé que plusieurs têtes de liste prétendent, chacun à sa manière, à l’accès à la présidence de ce conseil qui a pris une nouvelle connotation depuis la récente annexion d’Al Hoceima à la région Tanger-Tétouan et dont la présidence sera libérée par le très compétent Mohamed Rachid Talbi Alami qui lui a préféré une candidature à la présidence de la commune urbaine de Tétouan.
Nous vous livrons ci-après les conclusions de ce [color=#993300]sondage [/color]: [/color][/size][/justify][/b]
[center][color=#3366ff][size=19]***[/size][/color][/center][justify][size=12][color=#000066]
[size=14][center][color=#ff0000]1- Ilyas El Omar i: [/color][/center][/size][center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/ilyass.amari.png[/img][/center]
tête de liste du parti de l’authenticité et de la mode
ité ([color=#ff0000]PAM[/color]) : leader et numéro 2 de son parti, Ilyas El Omari lorgne vers la présidence du conseil régional Tanger-Tétouan – Al Hoceima et ses appétits pour en devenir le président se sont exprimés lorsque la ville rifaine d'Al Hoceima dont il est originaire, y a été annexée.
Néanmoins, si Ilyas El Omari s’avère être un stratège de son parti, il n’est pas moins amateur de la langue de bois exprimée dans son duel constant avec le chef du gouve
ement. Ceci révèle un caractère fluctuant et on peut conclure que la tâche serait plutôt ardue pour Ilyas El Omari qui n’a, en outre, aucune expérience de gestionnaire.
Autre facteur de complications : Ilyas El Omari est constamment absent ou en voyage, ce qui rendrait les relations difficiles avec le représentant de l’autorité et aussi compliquées pour le bon fonctionnement du conseil régional.
[size=14][center][color=#ff0000] 2- El Bachir Abdellaoui : [/color][/center][/size][center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/el_bachir_el_abdellaoui.jpg[/img][/center]
tête de liste du parti de la Justice et du Développement ([color=#ff0000]PJD[/color]) : secrétaire régional de son parti, ce prétendant à la présidence du conseil régional Tanger-Tétouan – Al Hoceima, ne fait pas le poids devant ses rudes concurrents .
S’il s’agit d’un bon militant discipliné qui applique à la lettre les directives du secrétaire général de son parti, Abdellaoui n’a pas l’étoffe d’un président de région de la dimension de celle de Tanger-Tétouan-Al Hoceima.
[size=14][center][color=#ff0000] 3- Mohamed Bouhriz :[/color][/center][/size][center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/aydoniiii-1.jpg[/img][/center]
président du bureau régional et coordonnateur provincial du Rassemblement national des Indépendants ([color=#ff0000]RNI[/color]).
Ancien président du conseil régional Tanger-Tétouan, ce candidat nécessite un recyclage et devrait prendre le train en marche pour se mettre à jour, en commençant par perdre cette habitude de vivre sur le passé en remettant constamment sur scène ce qu’il a réalisé alors qu’il était président du conseil régional. Une manière de dire que M. Bouhriz doit s’orienter plutôt vers l’avenir.
[size=14][center][color=#ff0000] 4- Mohamed Benissa :[/color][/center][/size][center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/mohamed_benissa.png[/img][/center]
Sans appartenance politique, ancien[color=#ff0000] ministre et président reconduit[/color] au conseil communal d’Asilah.
M. Benissa qui a à son actif une longue carrière politique qu’on peut qualifier de « [color=#ff0000]réussie [/color]», devrait plutôt faire valoir ses droits à une retraite bien méritée.
Sa candidature à la présidence de la région pourrait se révéler inconvenante pour lui, notamment que beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis qu’il a « quitté » la scène politique où il pouvait, de son temps librement jouer au « petit dictateur ».
Plus maintenant car ce sont 80 conseillers chevronnés et rompus à la tâche qu’il devrait affronter au conseil de la région. En aura-t-il l’étoffe et surtout la force ?
[size=14][center][color=#ff0000] 5- Chems Eddoha Moussaoui :[/color][/center][/size][center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/chems_eddoha_moussaoui.png[/img][/center]
Cette dame du [color=#ff0000]PAM[/color], juriste de son Etat, est candidate aux communales avec le maire actue[color=#ff0000]l Fouad El Omari [/color]qui figure en tête de liste. Avec une expérience acquise dans différents postes qu’elle a occupés, elle serait bien lotie pour faire un bon conseiller communal.
Mieux que ça, si Ilyas El Omari entrevoit une chance d’accéder à la présidence de la région [color=#ff0000]Tanger-Tétouan-Al Hoceima[/color] à laquelle il est candidat, il pourrait sacrifier son frère Fouad El Omari, maire sortant à Tanger, pour faire « octroyer » à la candidate Chems Eddoha Moussaoui, la présidence de la commune urbaine de Tanger. [/color][/size][/justify]
[center][size=17][b][color=#006699][link=http://www.lejou
aldetange
ews.com]Le Jou
al De Tanger[/link][/color][/b][/size][/center]