L’incident de la circoncision collective de Chefchaouen prend de plus en plus de l’ampleur.
On revient sut les faits. Cette circoncision collective a été initiée le 20 septembre dernier, à l’occasion de la fête d’Al Mawlid Annabaoui par une association au profit d’enfants issus de familles défavorisée. Après 3 semaines de l’action, des complications sont apparues et plusieurs enfants ont dû être hospitalisés à Chefchaouen. Mais dimanche dernier, leur cas s’étant aggravé, cinq enfants ont été évacués aux urgences pédiatriques de l’hôpital universitaire Mohammed VI de Tanger. Les garçons sont âgés de 5 mois à un an et demi.
la situation de deux d’entre eux serait extrêmement grave et pourrait même provoquer une invalidité permanente difficile à soigner.
Des associations des droits humains ont interpellé le ministère de la Santé et de la Protection sociale, les autorités locales, ainsi que toutes les parties responsables pour ouvrir une enquête en urgence afin de déterminer les circonstances de ce drame.
Depuis mi-octobre soit presque 1 mois, le sujet de ces circoncisions revient en ligne pour nous déclarer que le nombre d’enfants s’est élevé de 5 a 8 enfants actuellement.
La sonnette d’alarme a bien sonné le 12 octobre quand les 5 premières victimes ont été administrées aux urgences à L’hôpital Mohammed VI à Tanger mais cette sonnette a-t-elle bine été interceptée par les autorités et les services concernes pour agir et réagir les autorités parlent des enfants victimes mais personnes de parle du ou des médecins qui ont pratiques ces circoncisions. Personnes de parle de l’hospice où ces circoncisions se sont pratiquées et dans quelles conditions, non plus personne ne parle de cette association ni de ces membres qui ont participes a ces actes qu’on peut citer de « BARBARIE ».