Le week-end dernier, des orages violents et une pluie forte ont frappé plusieurs régions du Maroc. Les provinces du Sud-Est et du Haut Atlas ont eu beaucoup de pluie et beaucoup d’eau.
Des orages violents étaient à l’origine de la destruction de plusieurs maisons, des coupures d’électricité et de communications dans plusieurs douars. Des vidéos montrant les dommages causés par les pluies torrentielles sont devenues virales sur les réseaux sociaux. Les images partagées par des internautes montrent les vallées de M. Goun et de Dadès, ainsi que les rues de Tinghir complètement inondées. Les inondations à Kelaat M’Gouna et dans les environs ont provoqué des pannes d’électricité, d’eau potable et d’Internet.
Ce phénomène météorologique extrême montre comment les infrastructures sont vulnérables à la nature, mais aussi comment les communautés locales peuvent résister et s’adapter. Il souligne aussi l’importance de la gestion de l’eau, en particulier dans les zones arides et semi-arides du Maroc.
Les autorités marocaines continuent à surveiller la situation, alors que les prévisions météorologiques annoncent d’autres averses dans les jours à venir. Les efforts sont concentrés sur la prévention des dommages supplémentaires et l’utilisation optimale des ressources en eau pour soutenir l’agriculture dans les régions affectées.
Les régions de Tétouan et M’diq vont-elles être des scènes d’inondations au mois de septembre ? Plusieurs sources parlent de zones noires à Tétouan, comme le quartier El Wilaya, Jbel Dersa, Kora Sebaa et d’autres zones à Kuweilma sont menacées par les inondations, pour raisons d’assainissement dans ces zones. Les présidents des communes de Tétouan et de M’diq ont demandé aux responsables de la wilaya de la ville de Tétouan et de M’diq de prendre des mesures pour se protéger contre les inondations, à vérifier les retards dans les projets de construction et à résoudre les problèmes liés à leur retard. Ils leur ont aussi demandé d’activer les services des sociétés d’assainissement pour nettoyer les égouts et les canaux de drainage des eaux pluviales, surtout face à certaines pratiques négatives de gestion des déchets en période de pic touristique.
Mouna.N