L‘E-commerce, dit, le commerce électronique. Le terme est souvent utilisé pour décrire les mesures et actions entreprises par un vendeur pour vendre des produits directement aux consommateurs.
À noter que l’E-commerce a mieux percé au Maroc pendant la période Covid et après Covid. Il est évident de reconnaître que cela a permis de créer beaucoup de postes de travail, notamment les petits jobs, des vendeurs en gros et des revendeurs en détails, des activités qui ont elles aussi généré la création d’autres services, comme la livraison à domicile par diverses sociétés de livraisons. Les facilités administratives et l’encouragement des jeunes à se créer et à se développer avec le soutien des produits INTILAKA, la souplesse et les facilités d’obtenir des crédits et micro-crédits ont encouragé la parution en masse des Entrepreneur, ce qui a permis l’apparition des livreurs à 2 roues.
Les frais d’expédition, parfois rédhibitoires, ont représenté un inconvénient pour l’e-commerce et ses prestataires, parfois même ils se sont avérés bloquants pour de nombreux clients. Ce qui a encouragé la recherche et le développement de la concurrence à coût minimal et la naissance de la vague de LIVREURS, TUEURS À 2 ROUES qui sillonnent la ville sans les moindres mesures de sécurité et sans tenir compte des règles du code de la route ni de la conduite.
Si les uns arrivent à se faufiler entre les voitures sans dégâts, d’autres n’échappent pas à des fins tragiques pour eux ou pour autrui.
Des mesures beaucoup plus fermes que de saisir leurs 2 roues ou leur permis doivent être révisées. Voir pourquoi pas responsabiliser les sociétés d’embauche qui utilisent leurs services.