PJD: Véto contre Benkirane
[color=#999999][size=09]Le 22-03-2018 à 11:53:50 [/size][/color] [b][justify][size=12] Il se passe des choses au sein du PJD depuis l’arrivée du nouveau secrétaire général, Saâdeddine El Othmani, quoique la direction du parti tient à minimiser la portée de son de
ier communiqué, dont le contenu d'un paragraphe a été interprété comme une tentative de museler l’ancien secrétaire général (NDLR : Abdelilah Benkirane).
Pour le directeur général du parti, Abdelhak Elarabi, il n’est nullement question d'interdire à l’ancien secrétaire général l’encadrement des congrès régionaux, et la de
ière décision du secrétariat général ne conce
e que la présidence des travaux de ces congrès, qui démarrent en cette fin de semaine.
« Cette mission est, en effet, limitée aux membres de l’organe exécutif du parti, dont Benkirane ne fait évidemment pas partie », explique Elarabi , ajoutant que, pour ce qui est de l’encadrement desdits congrès, il s'agit d'une décision revenant aux instances régionales, donc à la base.
Sur le plan statutaire et organisationnel, il est tout à fait concevable d'exclure de la direction des congrès les personnes extérieures au secrétariat général, mais les bases du parti n’arrivent pas à comprendre pourquoi l’ancien « zaïm » du PJD ne pourrait pas encadrer ces rencontres.
Cela étant, le retour sur le devant de la scène de Benkirane, qui s'était éclipsé quelque temps suite à ses de
ières diatribes à l'encontre du RNI (Rassemblement national des indépendants) et de l’USFP (union nationale des forces populaires), intervient après la programmation par le parti d’une série de congrès régionaux qui démarrent ce 17 mars et se poursuivront jusqu’au premier avril. Les militants de base tablent sur ces rencontres pour un come-back de Benkirane sur la scène politique.
Par ailleurs, parallèlement à sa restructuration régionale et locale, le parti de la Lampe a également entrepris de réorganiser ses structures centrales. C’est ainsi que les présidents de la plupart des commissions ont été désignés. On retrouve, par exemple, le ministre Aziz Rebbah à la tête de la commission chargée du suivi de l’action des élus et son ancien bras droit, Mustapha Baba, à la tête de la commission des élections. Mustapha Ramid et Slimane El Omrani restent à la présidence de la commission de l’intégrité et de la transparence et de la commission de communication et des relations exte
es. Jamila Mossalli, elle, chapeaute la Commission de la parité et de l’égalité des chances.
Quant à Abdelilah Benkirane, rien ! il doit attendre la décision revenant aux instances régionales, donc à la base qui doit se prononcer sur son cas..[/size][/justify][/b] [right][size=9][color=#999999] PH : DR [/color][/size][/right] [center][size=14][b][color=#006699][link=http://www.lejou
aldetange
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