La 19e session du Comité intergouvernemental pour la protection du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO a eu lieu à Asunción Du 2 au 7 décembre, l’usurpation culturelle par l’Algérie du Caftan Marocain rebondit après des mois de dénonciation
du Maroc.
Lors d’une session dirigée par Nancy Ovelar De Gorostiaga, ambassadrice du Paraguay auprès de l’UNESCO, 58 candidatures pour la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité ont été examinées.
Parmi elles, l’Algérie a présenté une candidature en mars 2023 concernant le costume féminin de cérémonie dans le Grand Est, mettant en avant les savoir-faire liés à la confection de la Gandoura et de la Melhfa. Ce dossier sera évalué par le Comité intergouvernemental en vue d’une inscription en 2024.
Depuis la candidature de l’Algérie pour inscrire
son patrimoine vestimentaire, le Maroc a déclaré une appropriation culturelle du caftan marocain. En effet, le dossier algérien inclut des photos de tenues, dont un caftan typique de Fès, présenté comme un « Caftan brodé » avec des motifs spécifiques, tout en mentionnant un copyright du Centre national algérien de recherches. Cette situation est perçue comme une
appropriation culturelle, un sujet de préoccupation pour le Maroc, qui a exprimé ses inquiétudes dans une lettre à l’UNESCO en mai 2024.
Le dernier concours de pêche sportif de Tanger a connu le succès, il a attiré un nombre important de participants de nationalités étrangères. Cette compétition est organisée en partenariat avec la Fédération Royale Marocaine de Pêche Sportive et sous la supervision de la Fédération Internationale de Pêche
Sportive (FIBS).
Au cours de deux journées, les participants ont eu recours à tous les moyens et techniques autorisés pour capturer le plus grand nombre possible de poissons respectant les normes approuvées par le comité d’organisation.
Le duo belge composé du «Florus Robby» et «Cole Bram » a remporté la première place de la compétition, qui s’est déroulé sur la plage de Tanger en deux étapes, avec la participation de 124 participants venus de sept pays étrangers, à savoir l’Espagne, la
Le ministre a demandé le retrait des illustrations jugées confuses, en raison de l’histoire et des nombreuses réclamations légitimes de l’opinion publique marocaine. Ces réclamations proviennent notamment des communautés marocaines qui détiennent un savoir-faire ancestral lié au Caftan, symbole des valeurs
de paix et de tolérance de l’identité marocaine.