La ville de Tanger, que les étrangers des autres villes du royaume, ou d’en dehors du pays, voient comme un Paradis, les Tangérois et ou les résidents locaux la pleurent, tellement l’infrastructure et la gestion communautaire est en chute libre si elle n’est pas inexistante.
Il a fallu qu’un internaute filme et diffuse des vidéos sur les réseaux sociaux pour que les services de la Commune réagissent et se mettent au labeur.
C’est le cas de la rue de la liberté comme vu, et à moins de 10 mètre d’un Mythique Hôtel, se trouve deux générateurs d’un opérateur téléphonique, qui sont devenu des pissoirs public et des vides ordures par les vendeurs ambulants qui envahissent la rue depuis quelques mois.
La réaction a été rapide et dès lors, les services d’assainissement et de nettoyage de la ville ont entamé de suivre et de procéder au nettoyage des zones déclarées. Beaucoup de quartiers sont négligés ou vraiment pris en mi- charge, et à la va-vite, ou encore, dans certaines rues du centre-ville, passer ou stationner à proximité de certains caniveaux remonte le cœur et l’estomac.
Ces situations et leurs répétitions, laissent la population tangéroise dans des questionnements sur la crédibilité des représentants en lesquels ils ont fait confiance en donnant leurs voix pour les élections.
Nous sommes à la veille du début de la saison pluviale, et comme annoncé à la météo et déjà vu dans certaines villes du moyen et sud du royaume, de fortes pluies sont prévues ; où est l’assainissement des caniveaux et des rejets des eaux.
Ou encore, la remise à neuf des voiries par des services et des techniques primitives, même les débutant sauraient faire mieux. Où sont les ingénieurs et les paysagistes pour suivre toutes ces actions? Prendre en charge la ville ce n’est pas seulement planter et arroser la Colline de la Rocade de Merkala ou les espaces verts des quartiers de la vieille montagne.
Où sont nos représentants Communaux?