De nombreux facteurs contribuent à la situation de hausse des prix en cette période estivale dans les zones touristiques pour le tourisme national surtout dans les zones du nord, Outre l’inflation. Les faits vécus cette année 2023/2024, ont eux leurs effets sur le coût de la vie, l’Aïd al-Adha et les retards scolaires, les déséquilibres financiers. C’est un fait de poids que la forte hausse des prix des biens et services a réduit le pouvoir d’achat des Marocains. Le coût élevé associé aux fêtes religieuses sacrificielles en cette période. Enfin, l’incertitude quant aux résultats scolaires et aux conditions économiques mondiales a également joué un rôle important et a son impact sur la décadence de l’occupation touristiques. L’industrie du tourisme au Maroc est un peu inconfortable cet été. Les villes du nord, notamment Tanger et Martil, affichent une grande baisse touristique.
Les principaux moteurs de cette inflation sont reconnus : des prix à l’importation plus élevés, des coûts de production plus élevés pour les entreprises en raison d’une économie mondiale plus forte, rupture d’approvisionnement, sortie de crise, guerre en Ukraine, etc…
Cette inflation engendre la diminution du pouvoir d’achat : lorsque les prix augmentent, les consommateurs doivent dépenser davantage pour les mêmes biens et services. Cela réduit leur pouvoir d’achat et leur capacité à acheter de nouveaux biens et services.
L’inflation est partout et inévitable. Elle a transformé des lieux paisibles en lieux de désespoir et de résignation. A voir le grand mécontentement des gérants des belles stations balnéaires de Tanger, Tétouan et Al-Hoceima. Ils sont devant la fâcheuse obligation de suivre le circuit et d’augmenter les prix de l’hébergement, de la restauration et des services touristiques transformant les vacances en un luxe inabordable pour la plupart des familles marocaines fidèles à ces destinations et impatientes de revenir vers les beaux rivages de la côte depuis Asilah à Al-Hoceima, et les plages du sud qui ont leurs amoureux assidus qui y reviennent chaque année.
Malheureusement, les stations balnéaires emblématiques de la mer du Nord, avec leurs plages isolées et leurs plages sauvages, leurs falaises, leurs falaises, leurs récifs, leur sable blanc, doré, gris… sont moins fréquentées cette année le coup et doublement estimé. A commencer par les petits et grands restaurateurs et finir par les hébergements. Une situation qui a poussé les responsables du tourisme à tenter de minimiser l’ampleur du problème. La Commission Régionale du Tourisme (CRT) de Tanger-Tétouan-Al Hoceima souligne qu’il est encore trop tôt pour présenter des données concluantes sur la fréquentation de cette rencontre et que des observations à plus long terme seront nécessaires pour en mesurer l’impact avec précision.