Escroquerie, faux, usage de faux et usurpation de propriété (6)
[color=#999999][size=08]Le 14-03-2016 à 08:50:38 [/size][/color]
[b][justify][size=10][color=#333333]Rappel : dans nos précédentes éditions, nous avons publié les trois premiers actes de cette série d’articles focalisés sur une affaire en justice opposant 31 membres héritiers de la famille de feu [color=#993300]Abdellah Mbarek El Houari[/color] à des individus accusés d’escroquerie, de faux, d’usage de faux et d’usurpation de propriété, sous la couverture de la société immobilière ayant pour enseigne « [color=#993300]Société Brooks [/color]», à l’origine anglaise, devenue fictive et douteuse depuis qu’elle a été héritée par une humble famille marocaine qui s’est miraculeusement et spectaculairement enrichie à Tanger, en un temps record.. [/color][/size][/justify][/b]
[center][color=#3366ff][size=19]***[/size][/color][/center][justify][size=12][color=#000066] Rappelons les faits qui nous révèlent que ladite société appartient à une famille arrivée dans notre ville dans des conditions humbles et modestes, et qui se trouvent miraculeusement aujourd’hui à la tête d’une fortune colossale se matérialisant dans des biens immobiliers et de confortables comptes en banque bien ga
is, ce qui ne manque pas de susciter des interrogations sur l’origine de cette opulence douteuse.
L’affaire se focalise autour d’une tentative d’usurpation de propriété immobilière appartenant à 31 membres héritiers de la famille de feu Abdellah Mbarek El Houari qui l’ont cédée en expropriation pour utilité publique, et qui sont aujourd’hui sollicités par voie de justice à rembourser les fonds reçus au profit de la société Brooks héritée de ses membres fondateurs à coups de faux et d’usage de faux , avec la complicité des acteurs douteux que nous avons cités dans nos précédentes éditions, et auxquels nous ajoutons aujourd’hui un agent comptable de Tanger qui a contribué à cette pièce théâtrale de mauvais goût.
Le dossier nous révèle aussi cette semaine que la justice avait été trompée en 2013 lorsque le tribunal de commerce de Tanger, se basant sur des documents bien ficelés par les usurpateurs et leurs complices, avait approuvé, de bonne foi, le 13/12/2013, un jugement conce
ant la redistribution des parts sociales de la société, objet du dossier n°18/2012.9. Apparemment ce dossier serait introuvable dans les archives.
Autre révélation : il apparaîtrait que le transfert du siège de la société Brooks annoncé lors d’une assemblée générale, de la rue Khalid Ibnou Loualid (ex rue Velasquez) à la résidence Fayhae, 3ème étage n°3, à l’avenue Hassan II à Tanger, n’a jamais eu lieu, et cette adresse est demeurée fictive.
L’enquête qu’auraient menée les héritiers de la famille de feu Abdellah Mbarek El Houari aux services des Impôts où ils auraient découvert que ladite société n’était pas en règle. Parallèlement, aux archives nationales des sociétés, la raison sociale de la société n’a jamais été convertie de S.A à S.A.R.L, Cela outre de nombreuses violations au niveau du registre de commerce et de la conservation foncière, œuvre machivélique de l’avocat marocain qui a hérité du cabinet de l’avocat José Thomas Rubio Chavari après la disparition de ce de
ier.
Mais, répétons-le, les héritiers de la famille de feu Abdellah Mbarek El Houari ne baissent pas les bras, forts de leur légitimité et de la confiance qu’ils placent en la justice marocaine, et comptent faire valoir leurs droits par les moyens légaux et légitimes.
Pour notre part, nous aurons à revenir sur ce dossier, pour y apporter de nouveaux éclaircissements et pièces justificatives [/color][/size][/justify]
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aldetange
ews.com]Le Jou
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