L’introduction illégale d’or turc sur le sol national, qui risquerait d’inonder le marché local, susciterait l’ire des bijoutiers, des fabricants et des artisans locaux du secteur. Ce trafic menacerait sérieusement les professionnels d’autant plus que l’or turc serait vendu publiquement et en quantités considérables, sans considération pour les règles d’usage exigées des bijoutiers réguliers.
Apparemment, ces bijoux seraient fabriqués par de grandes sociétés turques, puis introduits clandestinement au Marroc par des réseaux clandestins et sont revendus à des prix attractifs à de faux bijoutiers qui les revendent à des prix compétitifs.