Depuis l’apparition du Coronavirus, le Wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Mohamed M’hidia, ne ménage aucun effort dans la lutte contre la pandémie. Il veille, avec pragmatisme et efficacité, à ce que la région du nord soit, autant que possible, la moins impactée, une tâche qui est loin d’être aisée, eu égard aux rebondissements imprévisibles de la pandémie du Covid 19, partout dans le monde.
Le wali veille personnellement à la suffisance, la qualité et les moyens mis en œuvre en matière de de lutte contre le Coronavirus dans la région. Il n’hésite pas à effectuer des visites dans les établissements de Santé et dans les quartiers sinistrés, pour tenir ensuite des réunions de travail, autant de fois que nécessaire, avec les responsables concernés.
Mêmes démarches dans les zones commerciales pour s’assurer de l’approvisionnement des marchés et le respect des consignes sanitaires.
Il faut souligner que la pandémie est survenue à un moment où la région du nord était engagée dans de grands chantiers inscrits au projet Tanger-métropole. Il aura fallu au Wali et à l’ensemble des intervenants placés sous ses ordres, non seulement maintenir la cadence d’avancement de ces travaux, mais aussi veiller à la protection sanitaire du personnel affecté à ces chantiers, comme à l’ensemble des citoyens.
Mais, avec son ardeur au travail, son volontarisme, son comportement assidu sur le terrain, son sens de l’écoute et la synergie qu’il a réussi à impulser entre les différents acteurs de la région, le Wali M’hidia parvient à affronter, avec lucidité, les nombreux défis qui se posent à lui.
Tout cela peut se vérifier dans la métamorphose de Tanger et sa région qui se poursuit bon train : le palais de la culture et des arts est achevé, le nouveau port et sa corniche affichent fière allure, et la ville est parsemée de nombreux espaces verts, jardins publics, terrains de proximité, etc.
Bref, les choses avancent normalement, les mesures de sécurité sont respectées et le monde des affaires tourne malgré les contraintes imposées par la pandémie.