Al Irfane – Boukhalf : Evacuation de 400 Subsahariens de 85 appartements squattés
[color=#999999][size=10]Le 06-07-2015 à 10:48:35[/size][/color]
[b][justify][size=10][color=#333333] Les autorités locales de[color=#993300] la wilaya de Tanger [/color]ont procédé, mercredi, à l’évacuation d’environ [color=#993300]400 [/color]migrants subsahariens qui occupaient d’une manière illégale 85 appartements au quartier Al Irfane à Tanger.[/color][/size][/justify][/b][center][color=#3366ff][size=15]***[/size][/color][/center][justify][size=12][color=#000066]Tout de
ièrement, au quartier Al Irfane de [color=#ff0000]hay Boukhalef [/color]à Tanger, des immigrés qui occupaient illégalement des dizaines d’appartements squattés, ont de nouveau déclenché la réaction des propriétaires et de dizaines d’habitants du quartier, ce qui a donné lieu à des sit-in demandant aux autorités de faire[color=#ff0000] évacuer les appartements squattés[/color] par les migrants venus d’Afrique subsaharienne qui récusaient les faits et dénonçaient un racisme de plus en plus important de leurs voisins marocains.
Devant la menace de nouveaux affrontements entre les deux parties, rappelant ceux du mois d’août 2014 qui avaient provoqué la mort d’un Sénégalais, et ceux de décembre [color=#ff0000]2013 [/color]qui avaient coûté la vie à un Camerounais, les autorités locales ont lancé, lundi, aux Subsahariens, un ultimatum de 24 heures pour libérer les logements occupés illégalement. Ainsi, un message du ministère de l’Intérieur, rendu public dans la soirée de lundi, disait : « Des ressortissants étrangers subsahariens ont envahi et occupé illégalement des appartements appartenant à autrui au quartier Al Irfane, relevant du district Boukhalef à la ville de Tanger. Si les appartements ne sont pas évacués dans [color=#ff0000]les 24 heures[/color], les autorités seront dans l’obligation d’intervenir pour évacuer les occupants afin de remettre lesdits appartements à leurs propriétaires conformément à la législation en vigueur. Le respect de la propriété privée est garanti par la loi, que les autorités publiques sont dans l’obligation de faire respecter sous la supervision du parquet compétent ».
Le délai de 24 heures ayant expiré dans la soirée de [color=#ff0000]mardi 30[/color], les forces de l’ordre ont alors entrepris de faire évacuer les lieux, quand un des occupants est venu les informer qu’un migrant a été blessé, qu’il gisait dans son sang au bas d’un immeuble voisin et que ses jours sont en danger.
Apparemment, l’homme aurait été blessé par un objet tranchant, vraisemblablement une lame, et tout portait à croire qu’il a été agressé par un ou des inconnus alors que tout le monde dans le quartier suivait les opérations d’évacuation menées par les forces de l’ordre. Mais, on suppose aussi que cet homme aurait chuté du haut d’un immeuble alors qu’il cherchait à fuir l’arrivée des forces de sécurité dans son appartement. Transporté en urgence à l’hôpital régional Mohammed V, la victime est décédée des suites de ses blessures ». Le parquet a ordonné une enquête.
Dans la matinée de mercredi, ce sont quelque [color=#ff0000]2.000 agents[/color] de police et auxiliaires qui étaient mobilisés pour les opérations de vérification d’identité, de cartes de séjour, et d’éventuels contrats de location, alors qu’une trentaine de bus étaient mis à disposition pour évacuer les Subsahariens majoritairement en situation irrégulière.
En début d’après-midi, le nombre d’évacués atteignait 500 Subsahariens et l’opération se poursuivait sans relâche jusqu’au soir.
Maintenant que le calme est relativement revenu alors que l’on ignore encore le sort des émigrés clandestins arrêtés, le ton ne laisse pas présager, pour le moment, des heurts possibles avec des migrants, sûrs de leur bon droit depuis la politique de régularisation lancée par l’Etat marocain voici plus d’un an.
Mais, est-ce que cela donne droit aux irrégularités ? .[/color][/size][/justify]
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