Autre histoire…autre a
aque ! Une investisseuse espagnole dans les griffes d’un promoteur immobilier à Tanger
[color=#999999][size=08]Le 04-04-2016 à 11:18:44 [/size][/color]
[justify][size=12][justify] Elle s’appelle [color=#993300]Maria Carmen Millan[/color] , elle est d’origine espagnole et elle est amoureuse du Maroc et de Tanger.
Quand elle est arrivée dans notre ville avec sa famille et un gros paquet d’euros, son idée était d’investir dans[color=#993300] l’immobilier résidentiel touristique[/color]. Elle a opté pour le Maroc, un pays où elle avait placé inconditionnellement sa confiance, au même titre que Tanger sur laquelle elle a porté son dévolu sans hésitation.
En 2010, elle a créé une société et réalisé un superbe complexe résidentiel et touristique du nom de « [color=#993300]Atlantic Magna[/color] » dans la zone d’Achekar.
Or, sur ordre officiel, elle a été contrainte de faire démolir deux blocs de son ensemble immobilier, ce qui a occasionné un gros trou dans sa trésorerie puisque les résidences démolies étaient déjà vendues, ce qui l’a obligée à rembourser les acquéreurs.
Devant cette situation financière difficile, notre investisseuse a été conseillée par un responsable, à l’époque, de notre agence urbaine, qui l’a propulsée entre les mains d’un promoteur immobilier connu à Tanger, en l’occurrence , le sieur Khalil Abdallas qui s’est porté au secours de la malheureuse investisseuse en consentant de lui prêter, contre un dépôt de chèques de garantie, la somme de 6 millions de dirhams, remboursable au bout de quelques mois, avec, à la clé, un million de dirhams supplémentaire, à titre d’intérêt.
Malheureusement, vu l’ampleur de sa gêne financière, Madame Maria Carmen Millan n’est pas parvenue à honorer ses engagements à l’échéance convenue avec son créancier.
Sans problème ! dira M. Abdallas qui, cette fois, a exigé de sa « cliente » de lui produire une garantie notariale écrite de remboursement de dette qui remplacerait les chèques mis en dépôt. C’est ce qu’elle a fait, après avoir consulté son notaire en Espagne qui lui a délivré l’engagement exigé.
Mais quels ne seront pas grands son étonnement, sa stupéfaction et sa déception en apprenant, à ses dépens, que M. Khalil Abdallas, au lieu de lui retou
er les chèques de garantie comme promis, s’est dépêché de les déposer au tribunal, entamant ainsi une procédure d’impayés.
En outre, il a introduit un autre recours en justice au sujet de [color=#993300]la garantie notariale[/color].
Aujourd’hui, Madame Maria Carmen Millan est poursuive par M. Abdallas pour une dette cumulée de 30 millions de dirhams, pour un principal de 6 millions de dirhams seulement…
Il s’agit donc d’une affaire apparemment ténébreuse qui risque de réveiller des démons, si l’on en croit les documents déposés par la supposée victime à notre rédaction.[/justify][/size][/justify]
[size=8][color=#999999]Photo :DR[/color][/size]
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aldetange
ews.com]Le Jou
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