[b][color=#990000]le jou
al de tanger[/color] [/b]
[b][color=#000099]L’affaire étant toujours entre les mains de la justice, la déontologie ne nous permet pas d’y interférer ni même d’émettre un avis aussi logique soit-il, sur cette supposée spoliation d’une propriété immobilière.
Nous nous baserons donc sur les déclarations de la styliste-modéliste marocaine SalimaAbdelouahab qui affirme avoir régulièrement acquis en 2006, avec son époux Christophe, de nationalité française, un terrain de 6000 m²à Dar Zhirou, dans la périphérie tangéroise, sur lequel ils ont bâti une résidence et un atelier de couture employant 15 salariés.
Cependant, ils n’auraient pas tardé à être interpelés par les membres d’un « gang », dit-elle, se passant pour des héritiers- propriétaires légitimes de leur domaine.
Cette revendication a fini devant la justice dont le tribunal de première instance de Tanger aurait tranché en faveur de Mme Abdelouahab et de son époux, la partie adverse n’ayant pas été en mesure de prouver son lien juridique avec le domaine en question, rapporte-t-elle.
Néanmoins, l’affaire nese serait pas arrêtée là, puisque les plaignants auraient interjeté appel qui aurait abouti à la condamnation, « à leur insu » rapportent les nouveaux propriétaires qui n’auraient même pas été informés de leur droit de porter l’affaire devant la Cour suprême, dans les délais impartis.
Aujourd’hui, Mme SalimaAbdelouahab et son époux se trouvent dans une impasse, après avoir fait un gros investissement dans cette affaire ayant absorbé toutes leurs économies, avec l’intention première de contribuer à la création d’emploi au Maroc, un pays pour lequel ils ont volontairement opté.
Forts de leurs droits, c’est donc à travers la presse qu’ils comptent informer l’opinion publique et saisir les responsables conce
és des vicissitudes de cette affaire qui menace de les ruiner.[/color][/b]