Sahara – ONU : l’Algérie, principal obstacle
[size=8][color=#999999]Le 16-11-2015 à 18:02:09 [/color][/size]
[justify][size=12][justify] Le secrétaire général des Nations Unies a regretté, mercredi, que le Plan d’autonomie n’ait pas ouvert la voie aux négociations auxquelles l’ONU appelle régulièrement depuis 2007, année de la proposition marocaine. Indirectement, ces propos pointent du doigt le Polisario comme principale cause qui a empêché la résolution de ce dossier.
Dans son communiqué, Ban Ki-moon a invité à la poursuite du dialogue. Son médiateur, Christopher Ross, doit pour sa part concentrer ses efforts dans ce sens pour résoudre l'un des multiples problèmes que connaît l’Afrique du Nord. Une région dont la situation est aujourd’hui inquiétante.
Le secrétaire général des Nations Unies a également adressé un message chiffré, en invitant les parties au conflit à profiter de la venue de Ross pour faciliter la tenue de véritables négociations dans les mois à venir. Ce qui implique un rôle et une responsabilité directe de l’Algérie comme partie prenante et directe dans ce conflit, malgré les arguments de neutralité avancés par le pays voisin pour échapper à toute responsabilité dans ce dossier.
Le régime algérien a repris, entre-temps, son langage agressif envers le Maroc. Son représentant a attaqué le royaume en intervenant sur tous les points de l’ordre du jour de la troisième commission de l’Assemblée générales des Nations Unies, en accusant le Maroc d’atteintes aux Droits de l’Homme.
Omar Rabi, membre de la délégation marocaine à New York, précise que c’est l’Algérie qui représente un mauvais exemple lorsqu’il s’agit des Droits de l’Homme. De ce fait, elle n’a pas le droit de donner des leçons aux pays voisins.Selon Rabi, l’Algérie a tout simplement tort de vouloir se comparer au Maroc.
D’Autre part, le gouve
ement provisoire libyen renouvelle son soutien à l’intégrité territoriale du Maroc. ce qui aggrave la situation des séparatistes et leur sentiment d’isolation.
En effet, les responsables libyens, notamment militaires, ont très vite compris que les efforts fou
is par la diplomatie algérienne pour s’immiscer dans la gestion libyenne sont motivés par des intérêts sécuritaires, tels que la protection de leurs frontières contre les infiltrations terroristes, ce qui n’a rien à voir avec les raisons avancées pour justifier cette ingérence..[/justify][/size][/justify]
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