Nous sommes 974000 habitants à Tanger
ier recensement général de la population et de l’habitat (RGPH 2014) au Maroc effectué par le Haut-commissariat au plan, l’effectif de la population légale du Maroc a atteint, au 1er septembre 2014, 33.848.242 habitants.
La région de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma occupe la cinquième position avec 3.557.000 habitants dont 970 000 demeurent dans la ville de Tanger.
Le 27-03-2015 à 11:06:27
Selon le nouveau découpage régional (12 régions), 70,2% de la population du Maroc se concentre au niveau de cinq régions dont la population de chacune d’elles dépasse les trois millions d’habitants.
Ainsi, la région du Grand Casablanca-Settat est classée première avec 6.862.000 habitants (20,3%), suivie de la région de Rabat-Salé-Kénitra avec 4.581.000 habitants (13,5%) et de la région de Marrakech-Safi avec 4.521.000 habitants (13,4%). La quatrième position revient à la région de Fès-Meknès avec un effectif d’habitants de 4.237.000 (12,5%), alors que la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima occupe la cinquième position avec 3.557.000 (10,5%). La répartition de la population par ville fait ressortir que sept grandes villes s’accaparent presque le quart de la population du Royaume (24,9%) et sont, selon leur poids démographique respectif, les villes de Casablanca avec 3.359.000 habitants, suivie de la ville de Fès avec une taille de 1.112.000, puis Tanger avec 974.000 habitants. La ville de Meknès vient en quatrième position avec 632.000 résidents, suivie de la ville de Rabat dont la population est de 577.000 habitants. Les taux d’accroissement ou de décroissement de la population de ces villes durant les dix de
ières années a oscillé entre -0,8% pour la ville de Rabat et 3,3% pour Tanger.
En comparaison avec le RGPH2004, l’effectif de la population du Royaume a enregistré un accroissement absolu de 3.957.000, soit 13,2%. En ce qui conce
e la répartition de la population selon le milieu de résidence, 20.432.439 habitants résident en milieu urbain et 13.415.80 résident en milieu rural, avec un taux d’urbanisation de 60,3% contre 55,1% en 2004.
L’accroissement observé de la population urbaine est dû, d’une part, à l’accroissement démographique naturel et à l’exode rural d’autre part, ainsi qu’à la création de nouveaux centres urbains et à l’extension qu’ont connue les périmètres urbains des villes.