La Co
iche de Tanger Prise en Otage par des Campeurs
[color=#999999][size=09] Le 11-08-2017 à 19:51:02 [/size][/color]
[b][justify][size=12] Affligeant ! Conste
ant ! Déplorable ! Navrant et triste ! Tels sont les qualificatifs que nous avons trouvés pour décrire le paysage désolant de la co
iche de Tanger dont les espaces verts qui ont coûté une fortune au contribuable, sont délibérément convertis, depuis le début de la saison estivale, en véritables campings sauvages dressés par des individus qui excellent dans la désolation, la hideur, la laideur et la crasse.
Les promeneurs locaux ou les visiteurs de notre ville, nationaux ou étrangers, qui viennent rechercher le bonheur et l’air frais sur notre co
iche, se trouvent ainsi confrontés à la laideur, avec des tentes dressées à même le gazon, dans des conditions anarchiques, avec souvent des draps suspendus et tendus ; des popotes ; des ordures ; de la souillure ; des cris ; des nuisances et un piétinement dramatique des plantations avec toutes les conséquences qu’on peut supposer pour l’environnement.
Autre constat aussi dramatique : celui de l’absence de passages pour piétons sur un long tronçon de la route longeant la co
iche.
Outre l’anarchie qui en découle pour la circulation routière, on imagine les dangers auxquels s’exposent les piétons, hommes, femmes et enfants, et qui se sont déjà traduits par de déplorables accidents.
Pour ces deux cas qui relèvent de l’autorité communale, voire de l’autorité tout court, dans toutes ses composantes, on se demande si la gestion de nos espaces publics entre dans les prérogatives de nos responsables dont certains passent la majeure partie de leur temps à nous donner des leçons de civisme, de prudence, d’hygiène et…de patriotisme.
A ce propos, le cas de la co
iche de Tanger délaissée, abandonnée et souillée n’entrerait-il pas dans la batterie de remarques cinglantes formulées par le Roi dans le de
ier discours du Trône ? [/size][/justify][/b]