Hôtel El Minzah Un syndicaliste cause du tort à 53 salariés du palace
[color=#999999][size=09] 22-06-2018 à 11:16:00 [/size][/color]
[b][justify][size=13] La bataille déclenchée, à l’instigation d’un certain Sindi, secrétaire régional à Tanger de « l'Union nationale marocaine du travail ([color=#993300]UNMT[/color]), le bras syndical du parti justice et développement ([color=#993300]PJD[/color]), qui aurait entraîné une cinquantaine de salariés de l’hôtel El Minzah à Tanger, dans une série de sit in, se serait vouée à l’échec, puisque ces protestations n’ont finalement abouti à rien de positif.
Au contraire, on a noté la révocation des 53 protestataires et la démission de leur représentant syndical à l’hôtel, Hassan Sofi.
L‘affaire avait commencé au lendemain de la fermeture pour travaux de l’hôtel El Minzah à Tanger, lorsque des employés de ce palace ont ouvert une série de sit-in devant le portail fermé, pour protester contre leur mise en congé forcé lors de la période des travaux de réfection de l’hôtel, et exigeant une avance sur leurs salaires correspondants à la période de fermeture envisagée pour une remise à niveau des installations demandées par différentes parties officielles conce
ées.
La direction de l’hôtel se disait surprise par ce comportement affirmant que toutes les dispositions prises avaient pourtant reçu le consentement du personnel, sachant qu’une partie des employés a été temporairement transférée au Grand hôtel Villa de France, pendant que le reste du personnel conserverait ses droits et continuerait à percevoir normalement son salaire jusqu’à sa réintégration de l’hôtel à la fin des travaux prévue pour l’été prochain.
La direction de l’hôtel avait énergiquement dénoncé, en son temps, le comportement du syndicaliste conce
é qui était derrière ce bras de fer considéré comme injustifié.
L’intéressé n’avait cependant réservé aucune suite à la mise en garde de l’hôtel, continuant à remonter le personnel contre la direction de l’établissement qui a fini par prendre des décisions draconiennes dont celle extrême du licenciement du personnel récalcitrant.
Depuis ce temps, le secrétaire régional à Tanger de l’UNMT,Sindi, brille par son absence, abandonnant le bateau à la dérive.
A bout d’arguments, les 53 salariés révoqués projettent de porter leur affaire devant la justice, impliquant ledit Sindi comme principal responsable de leur mise à la rue, alors que leurs droits étaient pratiquement préservés par la direction de l’hôtel El Minzah. Ce dont ils se rendent compte maintenant seulement.
Leur confiance sans limites en leur syndicat et son représentant à Tanger s’est avérée mal placée…Ils s’en rendront compte trop tard !
Le sieur Sindi n’est d’ailleurs pas à sa première bavure. Il a déjà été à l’origine de la fermeture définitive d’importantes usines dans le secteur du Textile et de l’Habillement et autre, exposant ainsi des centaines de salariés à un chômage forcé…et leurs familles à l’exclusion sociale … ! [/size][/justify][/b]