[b][color=#990000]le jou
al de tanger – abdelhak bakhat [/color][/b]
Dans notre précédente édition, nous avons dénoncé les agissements marginaux du sieur Fathallah Rifaï qui usurpe la fonction de jou
aliste à Rabat pour s’adonner à l’escroquerie et au chantage.
La triste image que nous avons dépeignée du personnage a incité un certain nombre de nos lecteurs à nous doter d’informations supplémentaires dévoilant de nouvelles faces de Fathallah Rifaï le qualifiant de parasite vivant en marge de la société, contagieux comme la peste et décrivant son passage à Tanger comme la période la plus lugubre de sa vie, partagée entre les bas-fonds, les bars malfamés et des séjours d’ivrogne dans les postes de police.
Cela outre le fait de be
er et de tromper des personnalités respectables qui lui ont ouvert des horizons pour tenter de le sauver de la délinquance.
Ainsi, n’est-il pas malheureux de constater aujourd’hui, que c’est ce même énergumène qui s’érige en donneur de leçons, sur les réseaux sociaux, critiquant ses maîtres dans l’art de la communication, un noble métier dont il ne possède même pas l’abc. C’est connu, il n’y a pas pire qu’un nullard qui s’érige en connaisseur et donne des leçons à tort et à travers.
Nous l’avons déjà dit, ce faux-jou
alise désœuvré, délaissé par la société et ignoré par tous ceux qui connaissent sa nature bestiale, exploite un site électronique, sauf que, heureusement, il n’est ni lu, ni écouté parce que tout le monde sait, désormais, qu’il s’agit d’un pauvre type ayant trouvé ce moyen pour continuer dans sa mendicité d’homme aux abois…
Notre histoire avec ce bonhomme ne vient que commencer et nous aurons encore l’occasion de revenir sur le cas de cette loque humaine qui tente de se mettre dans la peau d’un jounaliste… !
Nous rééditons notre conseil à nos amis pour se méfier et s’éloigner le plus loin possible de ce serpent qui peut mordre à tout moment…