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Qui est Abderrahman Sahouti ..?

Qui est Abderrahman Sahouti ce Belgo-marocain propriétaire du Café Manama à Bruxelles ?
[size=8][color=#999999]Le 04 -01-2016 à 11:25:38 [/color][/size]
[b][justify][size=13][color=#333333]Evoluant régulièrement pendant de longues années entre son lieu de résidence Bruxelles en Belgique où il possède un café nommé « Manama », entre autres propriétés spoliées, et sa ville d’origine, Larache où il a des comptes à rendre à la justice, Abderrahman Sahouti a réussi à se forger une réputation rude à toute épreuve ; celle d’un escroc notoire navigant dans les eaux troubles des affaires louches et des opérations illicites.
Aujourd’hui, pris au piège et interdit de quitter le territoire marocain, Sahouti est poursuivi par le tribunal de Larache pour une triste affaire d’escroquerie envers un entrepreneur de Tanger auquel il aurait vendu « du vent » à travers une tractation imaginaire de propriété ne lui appartenant pas, et pour laquelle il aurait encaissé la forte somme de 6,4 millions de dirhams. [/color][/size][/justify][/b]
[center][color=#3366ff][size=19]***[/size][/color][/center][justify][size=16][color=#000066]Abderrahman Sahouti aurait, en effet, reçu de sa victime, en 2013, 12 chèques de 250 000, 00 dirhams chacun, soit un totale de 3 millions de dirhams, cela outre un versement en liquide de la somme de 3,40 millions de dirhams, sachant que le montant convenu pour la transaction conce
ant un terrain au centre de Larache, était de 6, 40 millions de dirhams.

Malheureusement, il s’avèrera, par la suite, que le terrain en question appartiendrait, en fait, à la Régie des tabacs, et non pas au vendeur présumé qui s’est avéré être un escroc et qui n’est donc autre que le sieur Abderrahman Sahouti.
La victime était ainsi contrainte de porter l’affaire devant la justice qui a ordonné une enquête ayant conduit à l’arrestation du présumé accusé, Abderrahmane Sahouti, alors qu’il entrait au Maroc où il serait poursuivi pour escroquerie, par le tribunal de Larache.

Tout récemment, le mis en cause, en situation de liberté provisoire, aurait été convoqué par le juge d’instruction près le tribunal précité, devant lequel le présumé coupable aurait reconnu avoir effectivement reçu les 12 chèques précités, mais aurait nié avoir reçu une quelconque somme en liquide.

Le juge d’instruction aurait également auditionné, à l’occasion, plusieurs témoins de cette transaction qui auraient confondu le présumé escroc.

Abderrahman Sahouti expliquerait que les chèques reçus de l’entrepreneur Tangérois conce
eraient plutôt une transaction conce
ant une société lui appartenant à Bruxelles, dite « Hôtel Stalingrad SARL ».

Le comportement douteux du sieur Abderrahman Sahouti ne s’arrêterait pas là puisqu’il aurait eu à découdre avec la justice belge dans des affaires l’opposant à plusieurs personnes à Bruxelles, notamment des Marocains résidant à l’étranger qu’il aurait escroqué dans différentes transactions immobilières ou commerciales. Il tremperait aussi dans un honteux chantage à l’encontre de Marocains en situation irrégulière menacés de dénonciation aux autorités belges.

Toujours selon l’entrepreneur Tangérois, partie prenante dans le procès de Larache, le sieur Abderrahman Sahouti, n’honorerait pas son origine rifaine, sachant, explique-t-il, que les Rifains sont des gens honnêtes et sérieux, réputés pour leurs grandes valeurs humaines et leur sens de l’honneur.

Pour le plaignant tangérois, Sahouti serait loin d’être un citoyen honorable du fait même qu’il serait impliqué dans des histoires défiant la morale, dépassant de loin l’histoire du film « Zine li fik », et tou
ant autour de la po
ographie, les jeux de hasard, l’abandon familial et l’immoralité d’une manière générale, allant à l’encontre des valeurs religieuses.

Dénonçant aussi une autre affaire immobilière louche fomentée par Abderrahman Sahouti à Martil, l’entrepreneur tangérois avance que les victimes de cette escroquerie seraient intimidées par Sahouti qui les menacerait de représailles.
Se disant enfin confiant en la justice marocaine, l’entrepreneur tangérois compte récupérer légalement son argent spolié, gagné, dira-t-il, à la sueur de son front..[/color][/size][/justify]
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