Maria Carmen Millan Chaparro projette de politiser et inte
ationaliser son différend avec l’Administration marocaine
[color=#999999][size=09] Le 02-01-2017 à 11:53:31 [/size][/color]
[b][justify][size=13][color=#000066] Devant le maintien du refus des Autorités Marocaines de lui accorder l’opportunité d’éclairer l’opinion publique sur ses déboires avec l’Administration locale au sujet de la démolition arbitraire de deux blocs de son projet touristique et immobilier « Atlantic Magna » d’Achekar à Tanger, l’investisseuse espagnole,[color=#993300]Maria Carmen Millan Chapparo[/color], après avoir envisagé de s’adresser aux médias inte
ationaux dont notamment des jou
aux espagnols qui la solliciteraient pour prendre en charge son dossier, envisagerait aujourd’hui de politiser et d’inte
ationaliser son différend avec l’administration locale de Tanger.
Si, jusqu’à présent, Mme Millan Chapparo s’est retenue de franchir ce pas, c’est, explique-t-elle, pour ne pas donner l’opportunité à certaines parties à l’étranger de profiter de l’occasion pour critiquer l’Administration marocaine.
Mais, constatant que ses démarches n’aboutissent pas et que son appel de détresse lancé à l’Autorité Suprême du Maroc serait empêché de parvenir au Cabinet Royal, elle est plus que jamais décidée à s’adresser à des partis politiques, à des parlementaires et à des diplomates Marocains et Espagnols pour faire entendre sa voix.
Ainsi donc, un autre cap risque d’être franchi dans cette affaire, après que les démarches judiciaires et les différentes portes auxquelles elle a frappé, sont restées fermées devant cette investisseuse étrangère dont le projet spolié par les autorités locales a englouti toutes ses économies, l’héritage de sa fille orpheline de père et l’apport de son associé, mettant sa société en faillite délibérée.
Selon l’intéressée, cette nouvelle démarche s’impose à elle parce qu’elle estime inconcevable que les choses restent là où elles sont à cause d’un manque d’intérêt de l’administration rappelée à l’ordre par SM le Roi Mohammed VI en personne.
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Rappelons que cette affaire dont les péripéties ont été régulièrement relayées par le Jou
al de Tanger, et partiellement par quelques supports de la presse nationale, il ne serait pas exclu qu’elle prenne prochainement une dimension inte
ationale, puisque Mme Carmen Millan Chapparo est, plus que jamais décidée à recouvrir ses droits légitimes, notamment que l’expertise des pertes qu’elle a subies sont monumentales se chiffrant à 247 millions de dirhams au lieu des 12 millions de dirhams objet de l’arrêt du Tribunal administratif.
Soulignons que la décision d’investissement à Tanger prise par Mme Millan Chaparro et son associé, Noberto Garcia, est partie d’un sentiment noble et d’une idylle pour la ville du détroit. Malheureusement, le gigantesque projet de luxe édifié dans la zone d’Achakar a été stoppé net, lorsque l’administration locale a procédé, sans motif précis ni décision juridique, à la destruction de deux blocs principaux de cet ensemble immobilier et touristique. Un acte qui a sérieusement entamé le moral et les finances des investisseurs, mais pas encore leur amour pour la ville de Tanger, où ils souhaitent, malgré tout, après juste réparation, concrétiser leurs projets…[/color][/size][/justify][/b]