[color=#990000]le jou
al de tanger [/color]
[color=#990000]C[/color][color=#000066]ontrairement aux précédentes éditions du festival Tanjazz, plusieurs connaisseurs s’accordent à dire que la 19ème édition 2018 a rompu avec la médiocrité habituelle pour offrir des prestations musicales de haut niveau, ce qui est à l’honneur des organisateurs qui ont tout de même mis une vingtaine d’années pour comprendre enfin que le public marocain n’apprécie que les choses de qualité.[/color]
[color=#990000]O[/color][color=#000066]rganisée du 20 au 23 septembre de
ier, cette 19ème édition a drainé des mélomanes de tous bords qui ont apprécié un programme bien concocté, rendant hommage à un jazz de haut niveau.[/color]
[color=#990000]D[/color][color=#000066]u côté artistique proprement dit, nous sommes donc ravis de pouvoir rompre enfin avec notre côté critique pour féliciter les organisateurs de Tanjazz 2018.[/color[/color]
[color=#990000]C[/color][color=#000066]ependant, cela ne nous empêchera pas de dénoncer le côté marginal de ce festival exploité par ces mêmes organisateurs qui profitent de cette aubaine pour organiser, en marge du festival, des beuveries noctu
es où sont associés de jeunes Marocains.[/color]
[color=#990000]C[/color][color=#000066]ertes, ces débits de boissons alcoolisées, échappant au fisc, rapportent gros aux responsables de Tanjazz, mais, du même coup, font beaucoup de mal à la société marocaine et à sa jeunesse dévoyée car, ces jeunes, dont des mineurs, trouvent dans les coulisses noctu
es de Tanjazz l’occasion et un espace protégé pour consommer, non seulement de l’alcool, mais aussi de la drogue voire pour verser dans la débauche.[/color]
[color=#990000]C[/color][color=#000066]es « bistrots noctu
es » rapportent aux organisateurs de Tanjazz dix fois plus que le festival musical lui-même qui ne vient qu’en seconde position pour servir de couverture à ce commerce illicite.[/color]
[color=#990000]D[/color][color=#000066]onc, le festival « musical » Tanjazz pourrait prendre toute sa valeur culturelle si les responsables conce
és pouvaient s’attacher uniquement au volet artistique et abandonner le côté mercantile de débit de boissons au noir, leur rapportant gros, à l’abri des tracasseries des services des impôts…et du contrôle des mœurs[/color][color=#990000] ! [/color]