Gouve
ance locale Scanner du champ électoral tangérois
[color=#999999][size=10]Le 27-07-2015 à 10:28:19 [/size][/color]
[b][justify][size=10][color=#333333] A mesure que l’échéance du [color=#993300]4 septembre[/color] se rapproche, une certaine effervescence se propage sur [color=#993300]la scène électorale tangéroise[/color] où l’on relève déjà un engouement pour la course aux u
es conduisant à [color=#993300]la gouve
ance locale[/color].
Ainsi, les partis en lice jouent, discrètement pour le moment, le va-t-en guerre. Il s’agit essentiellement du Rassemblement National des Indépendants ([color=#993300]RNI[/color]) ; du Parti de l’Authencité et du Développement ([color=#993300]PAM[/color]) , du Parti de la Justice et du Développement ([color=#993300]PJD[/color]) et de l’Union constitutionnelle ([color=#993300]UC[/color]).
Pour essayer de dégager un avant-goût de ce que sera demain la scène politique locale, nous avons sélectionné un premier nombre de candidats aux élections du 4 septembre prochain et nous en livrons ci-après notre point de vue que nous soumettons à un débat de nos aimables lecteurs.
Une deuxième sélection pourrait suive… [/color][/size][/justify][/b]
[center][size=14][b][color=#ff0000]Mohamed Bouhriz (RNI) : [/color][/b][/size][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/bouhriz1.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Président du bureau régional et coordonnateur provincial du RNI qui le considère comme un élément de son échine dorsale, un acteur essentiel vis-à-vis des partis alliés et un artisan incontestable de la carte électorale locale, Mohamed Bouhriz adopte une stratégie qui ne réussit cependant qu’à moitié.
Ce qui est établi, c’est qu’il consacre inconditionnellement son temps, sa santé et son argent à son parti RNI. Pourquoi et à quelles fins ? C’est la question…
Toujours est-il que, étant têtu, tenace et pointilleux, il parvient à ses objectifs quoiqu’il pleuve ou qu’il vente ! [/color][/size][/justify]
[center][size=14][b][color=#ff0000]Fouad El Omari (PAM) :[/color][/b][/size][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/amari1.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Jeune élu, Fouad El Omari a acquis une certaine expérience sur le terrain qui l’a rapidement propulsé à la présidence de l'Association marocaine des présidents des conseils communaux (AMPCC).
El Omari est parvenu à se faire beaucoup de sympathisants sauf que son leitmotiv « OK » qu’il a continuellement sur les lèvres et qui lui vaut le su
om de « Monsieur OK », entame un peu sa crédibilité.
Avec un minimum de sérieux, nous parions pour sa réussite.. [/color][/size][/justify]
[center][size=14][b][color=#ff0000]Bachir Abdellaoui (PJD) :[/color][/b][/size][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/bachir_abdellaoui1.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Adopte systématiquement la stratégie commune de son parti, celle de s’allier le matin avec tout le monde pour atteindre des objectifs prédéfinis et de rompre, le soir, avec tout le monde !
Discipliné, il emprunte docilement le chemin tracé par la direction de son parti, sans l’apport d’aucune initiative personnelle pour la ville, quoiqu’il lui arrive parfois d’adopter, en catimini, des alliances pour consolider sa position localement
N’empêche que, d’une manière générale, il reste un élément valable, sans danger pour la chose locale. [/color][/size][/justify]
[center][size=14][color=#ff0000][b]Abdellatif Berroho (PJD) :[/b][/color][/size][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/abdellatif__berroho1.png[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Docteur en finances locales, ce qui est en soi un avantage pour la gestion locale, Berroho est cependant fermé au dialogue et à la négociation, ce qui est, cette fois, un désavantage. Il est intéressé par un poste important et lorgne vers la présidence du Conseil régional.
Considéré par son parti comme un élément pesant dans la politique locale, Abdellatif Berroho a effectivement donné ses preuves au sein du conseil de la ville où il préside la commission financière qui prépare le budget et ajuste les comptes administratifs. Mais bizarrement, à l’assemblée, soit qu’il s’oppose ou refuse de voter, soit qu’il s’arrange pour s’absenter. On s’explique mal cette dualité. Il est d’ailleurs constamment absent de la scène locale.
Peut-on, malgré tout, compter sur lui ? [/color][/size][/justify]
[center][size=14][color=#ff0000][b]Mohamed Khouyi (PJD) :[/b][/color][/size][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/mohamed__khouyi_1..jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Confondant religion et politique, Khouyi se mélange continuellement les pédales notamment quand il fait de l’opposition pour le simple principe de s’opposer à quelque chose.
Propulsé « par chance » au parlement, il n’a jamais rien apporté à Tanger ni à sa commune urbaine et encore moins à la population démunie qui a voté pour lui.[/color][/size][/justify]
[center][size=14][color=#ff0000][b]Mohamed Gharrabi (PJD) :[/b][/color][/size][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/mohamed__gharrabi1.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Elément valable, doté d’une certaine responsabilité.
Une méfiance règne cependant autour de lui à cause de sa popularité. Ceci risque de le brûler à la longue.[/color][/size][/justify]
[center][size=14][color=#ff0000][b]Mohamed Zemmouri (UC) :[/b][/color][/size][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/mohamed__zemmouri1.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Un élu-fantôme, constamment absent, mais par contre, c’est un bon commerçant prêt à tout monnayer. Une fois, en regardant un match de football de l’équipe tangéroise, il s’est dit prêt à acheter un « penalty » dont parlaient les spectateurs autour de lui, le prenant pour un joueur.
C’est beaucoup plus un homme « saheb chkara » qu’un politicien.[/color][/size][/justify]
[center][b][size=14][color=#ff0000] Abdelhamid Aberchan (toujours UC ?) :[/color][/size][/b][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/abdelhamid__aberchan_1.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] On parle beaucoup de lui. Il est ambitieux, imprévisible et, outre son étiquette de parlementaire, il préside le Conseil préfectoral de Tanger-Asilah.
Aberchan jouit d’une grande popularité dans son fief électoral où il adopte une stratégie jusque-là réussie.
Mais qu’en sera-t-il demain ? [/color][/size][/justify]
[center][b][size=14][color=#ff0000]Mohamed Hmami (…) :[/color][/size][/b][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/mohamed__hmami_1.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Il doit son succès aux élections à sa popularité bien entretenue dans sa zone électorale et à sa fréquentation des cafés de quartiers.
Elément ambitieux, il est le seul à adopter une stratégie tenace pour contrecarrer le PJD.
Néanmoins, Hmami a intérêt à soigner sa formation politique, autrement, s’il ne prend pas le train en marche, il risque de rester sur place…[/color][/size][/justify]
[center][b][color=#ff0000][size=14]Younès Chekaoui (…) :[/size][/color][/b][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/youns_chekaoui_1.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Déjà titulaire de plusieurs mandats communaux, il compte rempiler pour une nouvelle candidature qui le porterait probablement, de nouveau à la tête de l’arrondissement de Tanger Médina.
Cependant, Cherkaoui aurait aussi besoin d’un complément de formation et gagnerait beaucoup à soigner son stratège électoral et à trouver une meilleure formule pour convaincre ses électeurs.[/color][/size][/justify]
[center][size=14][color=#ff0000][b]Mohamed Najib Boulif (PJD) [/b][/color][/size][/center]
[center][img]www.lejournaldetanger.com/images/newspost_images/boulif11.jpg[/img][/center]
[justify][size=12][color=#000066] Apparemment « Persona non grata » à Tanger !
Le cas spécial de Mohamed Najib Boulif, ministre délégué au Transport, semble désespéré puisqu’il serait apparemment déclaré candidat indésirable. Le ministre PJD aurait grillé ses cartes depuis longtemps en «prenant de haut» les autres acteurs politiques, ses frères compris, allant jusqu’à refuser de s’attabler avec eux, estime-t-on. Parmi les grosses bavures portées au compte du ministre Boulif, celle de sa prise de position franche aux côtés de la compagnie aérienne Royal Air Maroc qui avait indûment supprimé plusieurs vols sur Tanger, touchant ainsi profondément les intérêts économiques de la ville. Cette prise de position de Boulif est restée en travers de la gorge de la population tangéroise qui regrette de l’avoir élu.
D’autre part, on craint au PJD que sa candidature mette à mal le parti vis-à-vis de ses éventuels alliés.
N’empêche que le personnage est réputé pour son caractère rigide, son sérieux et son intégrité.
De toute manière, la décision finale conce
ant le sort de Mohamed Najib Boulif relève de la direction du PJD. S’il est repêché, cela risquerait de mettre en péril l’équilibre fragile qui semble prévaloir actuellement sur la scène électorale tangéroise.[/color][/size][/justify]
[center][size=19][b][color=#006699][link=http://www.lejou
aldetange
ews.com]Le Jou
al De Tanger[/link][/color][/b][/size][/center]